tout etre émet un champ électrique...

Un chercheur canadien a mis en évidence les champs électriques qui animent tout être vivant. Une découverte qui bouleverse la vision de notre lien au végétal et à toute la création.
Voici une interviewe passionnante faite par le magazine Nexus avec le chercheur Canadien « Pier Rubesa »:
NEXUS: Merci de nous présenter vos travaux.
Pier Rubesa : J'étudie les champs électriques qu'émet le vivant, tout le vivant, les êtres humains, les plantes, les animaux, l'eau, mais aussi les cellules, les organes... Ils sont connus depuis plus d'un siècle, mais ont été considérés par les scientifiques comme une sorte de bruit indésirable. Ce phénomène est un champ subtil, un champ électrique à la fréquence audio, dans les basses fréquences, que l'on peut entendre d'une manière électrique, mais pas acoustique. Il est tout le temps présent autour de nous : c'est la musique silencieuse d'une interaction entre êtres humains, mais aussi avec les animaux, les plantes...Ce phénomène est dynamique car changent en permanence notre respiration, les battements du coeur, notre digestion, etc., ce qui fait que le champ électrique émis n'est jamais identique, même s'il a des caractéristiques propres à chaque être.
N : Comme les empreintes digitales?
P.R : Chaque être vivant émet, effectivement, un champ électrique qui lui est propre, mais la différence, c'est que la forme de notre doigt est fixe, alors que ce champ est dynamique. On peut le regarder et dire « Voilà, c'est Paul, là, c'est Marie », mais s'ils font quelque chose, ils le modifient, parce qu'il y a interaction avec la matière et l'environnement. Chacun de nos mouvements change notre champ électrique. Pourquoi? Parce que le mouvement est une vibration: ouvrir les bras ou bouger la tête modifie donc le champ électrique que nous émettons.
N : Et méditer ou prier?
P.R :Dans le système biologique, il y a deux sortes de fonctions vibratoires, avec, en premier, les fonctions biochimiques, qui se produisent à grande vitesse et à très haute fréquence. Au-dessus existent les fonctions biologiques, à de basses fréquences. Par exemple, les battements du cœur sont à 1,3/1,5 Hertz, notre respiration est à moins d'un Hertz... Dans les plantes aussi d'ailleurs, les différentes fonctions telles que la division des cellules se développent à basses fréquences. Donc si nous méditons ou prions, nous abaissons la fréquence de notre cerveau, ce qui se ré¬percute aussi sur notre champ électrique.
N : Comment en êtes-vous arrivé à cette découverte?
P.R : J'effectuais des recherches sur le son dans mon studio à Toronto. Un jour, j'ai créé un son spécifique qui a commencé à réagir avec moi : le son changeait lorsque je bougeais, sans que j'en comprenne la raison. J'ai donc étudié le phénomène, ce qui m'a amené à créer un petit circuit puis à développer le Bioscope. Cet appareil est utilisé depuis plus de cinq ans en laboratoire, en Suisse, en France, aux États-Unis, au Japon, dans le but d'étudier ce phénomène électrique dynamique autour du vivant.
N : Pouvez-vous faire une démonstration?
P.R : Je pose cette plante sur le capteur et son signal apparaît à l'écran. Ensuite, pour voir l'interaction avec une personne, j'approche ma main de la plante, sans la toucher. Nous voyons tout de suite sur l'ordinateur la modification des caractéristiques de son champ électrique. C'est donc facile de constater cette réaction dynamique entre les différentes personnes, les plantes, les animaux, d'autant plus que le champ autour des êtres vivants est sensible aux moindres changements.Nous allons maintenant effectuer l'expérience inverse : je pose sur moi l'électrode du Bioscope afin de capter mon propre champ électrique; nous allons voir les modifications de mon champ électrique lorsque je « m'interface » avec la plante [Pier effectue ces opérations devant nous, ndlr].Ici, à l'analyse spectrale, nous pouvons constater l'interaction entre mon corps et la plante, qui a complètement changé les caractéristiques de mon champ électrique.
N : Donc la nature...
P.R : ...produit bien un effet majeur sur nous. Lorsque nous nous promenons par exemple dans une forêt, un champ, au bord d'une rivière ou de la mer, il se crée une action électrique très spécifique dans la profondeur de notre être. Les analyses montrent que nous recevons alors une information électrique qui interagit avec les actions atomiques et moléculaires. Cette action électrique, démontrable désormais d'une manière scientifique, est fondamentale pour comprendre la vie mais aussi la santé, le bien-être... C'est, de plus, un phénomène unique et individuel.
N : L'interaction n'est donc pas identique d'une personne à l'autre, d'une plante à l'autre...
P.R : Non, cette action est vraiment unique. Certains réagissent mieux à certaines plantes que d'autres. Nous pouvons le voir avec l'analyse du signal: le champ électrique peut ne pas varier significativement avec telle variété, mais beaucoup avec une autre. Ainsi, l'analyse du champ permet de conclure que cette plante nous fait du bien ou non. C'est vrai aussi avec les animaux. On peut également l'observer en forêt, lorsqu'un arbre pousse en s'éloignant de son voisin. Ce n'est pas uniquement pour trouver plus de lumière ou autre chose, cela signifie surtout que l'interaction entre eux est négative, ce que l'on peut mesurer.
N : Peut-on en conclure que les plantes ont des émotions?
P.R : De mon point de vue, tout ce qui vit possède un certain sens de sa vie, une forme de conscience, mais mes recherches ne peuvent le prouver indubitablement.
N : Avez vous déjà pratiqué des expériences qui montrent d'autres similitudes avec les êtres humains ?
P.R : J'ai évidemment déjà mesuré l'action de la musique sur les plantes: on constate immédiatement des modifications dans leur champ électrique. C'est logique, puisque la musique est un phénomène physique qui se manifeste dans l'espace avec ses vibrations, ses ondes et sa propre force; elle aussi délivre une information, qui réagit avec le vivant, que ce soit les plantes, les êtres humains ou les animaux, et donc modifie leur champ électrique.
N: Cela explique les nombreuses expériences qui prouvent que les plantes préfèrent Mozart...
P.R : Oui, mes études montrent que la musique la plus structurée donne les meilleurs résultats sur les plantes en augmentant ou améliorant les caractéristiques de leur champ électrique. La musique structurée, c'est notamment la musique baroque, la musique classique, certaines formes de jazz... Au contraire, et presque sans surprise, le heavy metal perturbe le champ électrique, ça bouge trop. La techno aussi diminue et détruit les structures de ce champ, mais pas dans tous les cas, car chaque être est unique et peut s'adapter. De façon générale, certains styles de musique ou de sons détruisent ce champ électrique.
N : C'est le cas de la vie urbaine...
P.R : En effet, le bruit de la rue, du trafic, les centaines de canaux de musique et de télévision, c'est un chaos sonore. On sait que les ondes des sons traversent la matière, donc notre corps et touchent les nerfs, les muscles, les os et nous fatiguent en détruisant les structures vibratoires du corps. Le silence permet à notre champ de se former sans influences externes. Il est donc très important de faire attention aux sons auxquels nous nous exposons et, parfois, d'être entouré d'un quasi-silence.
N : Constatez-vous une différence dans le champ électrique en cas de maladie ?
P.R : Oui, de façon significative. Bien sûr, en l'occurrence il y a un processus chimique à l'œuvre, mais les maladies commencent en grande partie par une modification du champ électrique. C'est normal, car il est la barrière d'informations qui nous protège, il est fondamental dans le processus.
N : Vous avez constaté que les plantes peuvent nous guérir, en tout cas avoir un effet positif sur nous...
P.R : Oui. J'ai fait beaucoup d'expériences dans le domaine de la santé sur l'influence des plantes. Il apparaît que vivre dans un environnement avec des plantes recharge notre champ électrique et peut nous guérir. Nous avons aussi beaucoup testé les actions d'extraits de plantes, de tisanes ou l'application d'huiles essentielles; nous avons constaté que cela change drastiquement les informations dans le champ électrique d'une personne, parce que les plantes ne génèrent pas seulement une action chimique mais délivrent une information via le champ électrique, ce qui permet à notre corps de réagir, parfois même fortement alors qu'il ne s'agit que d'extraits.
N : Est-ce que vous pouvez voir les influences négatives d'une plante?
P.R : Oui, lorsqu'elles sont toxiques, par exemple, ou provoquent des allergies à certaines personnes. Leur action perturbe alors le champ électrique.
N : Tout à l'heure, vous avez commencé à nous parler de la forêt...
P.R : Lorsque nous entrons dans une forêt se produit une réaction en chaîne: nous dépassons le premier arbre, qui réagit à notre présence et cet arbre transmet l'information en un instant à toute la forêt. Elle connaît donc notre présence, car il y a une communication subtile mais une interaction vraie qui se passe alors: nous influençons l'arbre mais lui aussi nous influence. Nous le savions tous plus ou moins déjà, mais notre apport, c'est de pouvoir le mesurer. Bien évidemment, cet effet est particulièrement bénéfique sur nous.
N : D'autres expériences sur les plantes?
P.R : Je voudrais vous montrer des exemples d'expériences de laboratoire, qui nous posent la profonde question de la vie, de l'alimentation et de la santé. Je commence par un test sur le trèfle effectué pour une université. Nous avons mesuré quatre échantillons de trèfle et constaté que deux présentaient une caractéristique électrique complètement différente des autres, C'est seulement après qu'il nous a été précisé qu'il s'agissait de trèfles génétiquement modifiés. La structure chimique est pourtant la même à 99,96 %, mais les différences dans le champ électrique et sa structure sont astronomiques, ce n'est plus du tout la même dynamique.Dans une université suisse, nous avons comparé les champs électriques du maïs naturel et du maïs OGM. De nouveau, nous avons vérifié que même si la constitution chimique est vraiment proche, la structure et les différences énergétiques électriques donc l'information qui se trouve dans ce champ électrique sont complètement différentes.Cela pose la question de l'intérêt des OGM pour l'alimentation.
Jusqu'à présent, toutes les études effectuées ne portent que sur l'action et les fonctions chimiques. Or, ce que nous montrons, c'est qu'il faut aussi mesurer l'action énergétique, l'action électrique. Lorsque les animaux mangent du maïs, leur corps prend l'action chimique grâce au processus digestif. Mais il y a aussi des informations contenues dans le champ électrique de ce maïs. S'il est naturel ou OGM, cela change considérablement l'information qui entre dans le corps de l'animal. Et c'est important, parce que le corps - c'est pareil pour les êtres humains -, s'est habitué pendant des milliers et des milliers d'années à comprendre l'action chimique mais aussi énergétique, donc l'information livrée au corps.S'il comprend la constitution chimique, mais pas l'information liée à cette constitution, quelles seront les conséquences?
Je ne suis pas contre les OGM a priori, nous avons même trouvé que certains OGM généraient un champ électrique correspondant à peu près à la variété naturelle, mais d'autres, avec juste 0,5 % de contenu OGM, changent complètement le champ électrique. Il est donc nécessaire d'étendre les recherches pour comprendre l'action des produits OGM fabriqués en laboratoire.
N : Au début, vous avez mentionné que l'eau aussi émet un champ électrique...
P.R : J'ai fait beaucoup de tests sur l'eau, avec des universités ou de grandes sociétés en France, aux États-Unis et au Japon. L'eau est une matière spéciale, vraiment bioactive, dont nous pouvons effectivement mesurer le champ électrique. Nous avons constaté, par exemple, qu'il se modifie en posant simplement une plante à côté.
L'une des expériences les plus intéressantes que j'ai faites ces cinq dernières années portait sur l'eau. Elle a eu lieu dans un laboratoire en Suisse, dans une chambre totalement isolée de l'influence des ondes externes, qu'elles soient électromagnétiques, acoustiques, lumineuses, etc. Nous avons pratiqué cette expérience simple avec diverses personnes, plusieurs fois et à différents jours: nous avons posé un verre d'eau sur une table; la porte de la pièce était fermée, seule l'eau était donc enregistrée. Puis nous avons fait entrer une personne, qui se tenait au milieu de l'espace à environ 3 m du verre. Elle devait fermer les yeux et compter jusqu'à 30 avant de les ouvrir, tout en se concentrant avec une pensée sur ce verre d'eau.
Tous les résultats sont exactement les mêmes: l'eau réagit aussi au regard, avec la modification du champ électrique à toutes les phases ! Ces expériences continuent de nous interpeller: quel est ce phénomène que nous avons mesuré dans des conditions vraiment scientifiques ?
N : Un regard, une pensée pourraient donc modifier le champ électrique d'une plante?
P.R : La question se pose, effectivement, de savoir s'il est possible, avec nos pensées, de changer et d'influencer les plantes... Ainsi que nous l'avons déjà expliqué, penser modifie un champ électrique qui influence ce qui nous entoure. Je suis donc convaincu, qu'avec nos pensées, nous pouvons transformer et influencer pas seulement les plantes et l'eau, mais aussi nous-mêmes et notre monde !

extrait de : http://lowanka.fr/pierrubesa.php.

5 commentaires:

kevin a dit…

héhé merci myriam pour le partage ;)

Cyril a dit…

Excellent les arbres qui se refilent l'info de notre arrivée en forêt ! par contre y doit y avoir des problèmes de com' entre arbres et animaux quand on rencontre un de ces derniers sans qu'il ait visiblement prévu de nous rencontrer (ou alors quel jeu d'acteurs !) ou alors y a aussi des animaux autistes ou tout simplement à tendance "planètes" sans faire dans l'anthropomorphisme...

Et la composition énergétique de l'eau qui se transforme par les pensées dirigée sur elle, j'adore !!

Merci Myriam !

Anonyme a dit…

Lire le blog en entier, pretty good

Anonyme a dit…

Merci d'avoir un blog interessant

Anonyme a dit…

love it.