La physique repose aujourd'hui sur deux grandes théories. La relativité générale est une théorie de la gravitation qui décrit le monde à l'échelle des distances astronomiques, monde calme, prévisible. À l'opposé, la mécanique quantique décrit le monde des particules dites élémentaires qui, par comparaison avec le monde sensible, paraît agité et imprévisible.
Chacune de ces deux théories a conduit à des succès impressionnants dans son propre domaine mais la différence profonde évoquée ci-dessus est à l'origine d'incohérences dans leur application conjointe. Certains physiciens ont donc adopté une attitude pragmatique : utilisons chaque outil dans son domaine de validité sans nous poser de problèmes peut-être insolubles. La théorie rassemble ces deux théories là, et aussi permet de résoudre les problèmes liés aux atomes.
Il reste que certains phénomènes impliquent les deux échelles. Ainsi, un trou noir a un champ gravitationnel tel qu'il attire tout ce qui passe à sa portée, y compris la lumière, ce qui implique la relativité générale. Pour tenter de décrire la nature de la « matière » dont il est constitué, il faut faire appel à la mécanique quantique ou à une théorie qui l'englobe. Les premiers instants du Big Bang posent un problème analogue, au moins à première vue. Les théories des cordes tentent de décrire de tels phénomènes. L'Univers élégant de Brian Greene donne à ce sujet des précisions à l'usage des non-spécialistes.
Les théories des cordes présentent un inconvénient pratique, leur complexité extrême qui ne permet pas, à ce jour, d'aboutir à des résultats utilisables sans approximations grossières. En effet, si nous pouvions vérifier cela, il faudrait un appareil capable de lire l'infiniment petit, au dela de l'atome. A l'échelle, une corde serait équivalente à un arbre, un atome serait équivalent à la terre sur notre système solaire. La mise en place d'outils microscopiques scientifiques n'est hélas pas envisagée à l'heure actuelle. Théorie donc calculée, recalculée à 99.9 % probable d'exactitude, mais invérifiable à l'heure actuelle.
La théorie repose sur deux hypothèses :
- Les briques fondamentales de l'Univers ne seraient pas des particules ponctuelles mais des sortes de cordelettes vibrantes possédant une tension, à la manière d'un élastique. Ce que nous percevons comme des particules de caractéristiques distinctes (masse, charge électrique, etc.) ne seraient que des cordes vibrant différemment. Les différents types de cordes, vibrant à des fréquences différentes, seraient ainsi à l'origine de toutes les particules élémentaires de notre Univers. Avec cette hypothèse, les théories des cordes admettent une échelle minimale, reliée à la taille de Planck, et permettent ainsi d'éviter facilement l'apparition de certaines quantités infinies («divergences») qui sont inévitables dans les théories quantiques de champs habituelles.
- L'Univers contiendrait plus de trois dimensions spatiales. Certaines d'entre-elles, repliées sur elles-mêmes (voir les théories d'Oskar Klein), passant inaperçues à nos échelles (par une procédure appelée réduction dimensionnelle).
Selon la théorie des cordes, notre monde, apparemment tridimensionnel, serait non pas constitué de trois dimensions spatiales, mais de 10, 11, ou même 26 dimensions[2]. Sans ces dimensions supplémentaires, la théorie s'écroule. En effet, la cohérence mathématique impose la présence de dimensions supplémentaires. La raison pour laquelle elles restent invisibles, est qu'elles seraient enroulées par le procédé de la réduction dimensionnelle à une échelle microscopique (des milliards de fois plus petit qu'un atome), ce qui ne nous permettrait pas de les détecter.
En effet, si on imagine un câble vu de loin, celui-ci ne représente qu'une droite sans épaisseur, un objet unidimensionnel. Si l'on se rapproche assez près, on s'aperçoit qu'il y a bien une deuxième dimension, celle qui s'entoure autour du câble ! D'après la théorie des cordes, le tissu spatial pourrait avoir de très grandes dimensions comme nos trois dimensions habituelles mais également de petites dimensions enroulées sur elles-mêmes.
Les espaces de Calabi-Yau sont des variétés qui jouent le rôle des dimensions enroulées. C'est une forme extrêmement complexe constituée à elle seule de 6 dimensions. Grâce à eux, on se retrouve bien avec 10 dimensions : nos 4 dimensions habituelles (3 d'espace et 1 de temps) + les 6 des espaces de Calabi-Yau.
et le voila notre truc dimensionnel ... Comment expliquer les différentes dimensions, celles que nous ne voyons pas avec nos sens.
Un des faits expérimentaux majeurs observés ces dernières années est que l'Univers est en expansion accélérée. Une énergie noire, de nature inconnue, a été postulée pour expliquer cette accélération. Cette énergie noire peut être vue également comme une constante cosmologique positive. La théorie des cordes n'a pas prévu l'accélération de l'expansion de l'Univers car cette théorie mène naturellement vers des univers à constante cosmologique négative ou nulle[4]. Rendre la théorie des cordes compatible avec une constante positive s'est avéré très ardu et n'a été effectué qu'en 2003 par un groupe de l'université Stanford[5]. Mais une des conséquences de ce travail est qu'il existe de l'ordre de 10500 théories des cordes possibles, donnant un "paysage" (landscape) de théories plutôt qu'une théorie unique. L'existence de ce nombre énorme de théories différentes - qui ont toutes la même validité théorique - mène directement à l'hypothèse d'un multivers, voire au principe anthropique, ce qui gêne ou intrigue nombre de physiciens.Alors comme ca, l'univers n'est pas unique, mais MULTIVERS, qu'on se le tienne pour dit, ce n'est pas moi en plus qui le dit, mais l'université de stanford.
stan, l'autre jour nous en avons parlé, je te dédicace cet article,en espérant que tu pourras le comprendre, mais ouiiii je sais t'es pas un wizzzz !
Je résume donc : la théorie des cordes est une théorie qui à été étudiée à un tel point qu'aujourd'hui on trouve plus de xxxxx théories de cordes, les scientifiques bataillant pour aboutir au résultat parfait. Cette théorie explique que ... le vide est du non vide, au dela des atomes existent des cordes (ils auraient franchement pu l'appeller autrement), des brindilles qui vibrent toutes de la manière la plus harmonieuse possible, mais vibrent aussi différemment. La dimension dans laquelle nous sommes et que nous connaissons se résume en 3d plus celle de l'espace temps (et hop une dimension de plus!) l'univers ne serait pas unique, mais multi, et c'est pas moi que le dit, de multiples chercheurs se penchent sur cette équation. Donc le temps ne serait que inhérent à notre dimension à nous.
bon ca va fumer la dedans, je t'embrasse j'espère que tu auras apprécié cet article (bon j'avoue beaucoup de copié collé de cet endroit http://www.ilephysique.net/encyclopedie/Th%C3%A9orie_des_cordes.html, mais j'aie aussi écrit un peu.
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