synthèse de ce synopsis

ce que je retiens surtout de cette histoire, c'est la naissance de la terre, du moins, je comprends enfin pourquoi je suis venue ici, il m'a été donné de revivre " nous avions tant d'amour " que j'aie enfin compris l'origine de ce trou noir, que j'aie vue un jour il y a deux ans maintenant, je suis heureuse d'etre là ou je suis, meme si c'est dur. Se voir en "entité" non incarnée, libre de tout et se sentir ici bas est une sacrée différence.

pour faire un résumé de ce texte, long tout de meme, voici les mots qui m'ont interpellée,  Sophia tombée en energie, en densité, mais restant avec le meme amour, la haut, les éons qui l'ont vue et ont ressenti sa douleur ... le temps n'existe ici que pour nous.

Alors que la Déesse se transforme en une planète, son courant de haute porosité de Lumière Organique caille comme du lait et se solidifie finalement en un crystal globulaire qui l'irrite, comme un grain de sable dans une huître. Elle expulse le globe dans l'espace, en laissant une faille profonde en son flanc qui se cicatrise ensuite en générant une barrière saignante de récifs de coraux. Le globe expulsé, comme une gigantesque perle étincelante, tourne dans le ciel autour d'elle et mesure le tempo de sa gestation.

Au fur et à mesure que Sophia perd sa forme Eonique, ses émotions se métamorphosent dans les éléments physiques de la Terre. Le globe terrestre se solidifie, une planète foetale capturée dans l'horlogerie céleste des Archontes. A la suite de sa conversion, Sabaoth, l'étoile-mère, confère un faisceau de chaleur solaire bienveillante à la planète émergente. Simultanément, le système planétaire exerce ses forces aveugles d'attraction et Sophia est en proie aux influences violentes de la pesanteur, de l'électromagnétisme et d'autres lois qui ne prévalent pas dans le Plérome.

Au fil de nombreux éons, Sophia transpire dans son labeur de formation de la planète Terre. Par ses efforts, elle génère l'atmosphère et les océans. Les volcans déchargent ses menstrues. L'Eon se voile avec pudeur dans les vapeurs nuageuses marbrées de la biosphère. Sur son corps, la vie émerge en formes proliférantes; des créatures, grandes et petites, abondent mais Sophia est incapable de contrôler sa progéniture. Observant tout, du coeur galactique, les Dieux du Plérome ressentent son épreuve. Par décision commune, ils envoient l'Eon Christos pour amener de l'ordre à la diversité biologique qui explose dans le monde de Sophia. Le Christos intercède pour organiser les formes de vie bourgeonnant dans la matrice de Sophia

Ensuite il y a des lignes ou je ne serais pas d'accord, mais pour l'origine de nos mots, la dualité je rejoins cet auteur.Ce que je ressens est différent de ce texte et puis c'est aussi suivant l'inspiration de l'auteur, chacun possède une partie du puzzle et sa propre vérité, et ensemble on évolue n'est ce pas ?

Néamoins je suis toujours contente de trouver de ci de la, des parcelles pour mon évolution, je reste une chercheuse de la vérité, et lire ce genre de textes me  parle.

je vous embrasse

 

 

6 commentaires:

Balzac a dit…

Très bon article! :-)

myriam a dit…

eh bien merci thierry, si je peux partager mes trouvailles, mes pitis instants de bonheur, et de "re-connaissances", je me souviens ... cela me fait penser à je te vois dans avatar, on ne voit qu'avec son coeur; le reste devient aprés tellement mental, mais avoir une de ces possibilités par rapport à nos origines "matérielles" dans la matrice, cela me plait. J'aie toujours en moi cette idée que l'homme n'est pas né mauvais, qu'il y a une essence en lui qui le corromp et que meme parfois son libre arbitre est souillé.

bises

Balzac a dit…

Exact nous avons en nous une essence, un germe qui nous corrompt. Mais l'homme ne serait-il que le résultat de cette corruption?.... Pas né mauvais mais né corrompu...

myriam a dit…

non descendus dans la dualité, cela me donne (selon mon ressenti) une perception bien différente, t'expliquer qu' à l'origine nous étions des etres "divins" faisant parti du grand tout, d'un meme corps, cellules uniques dans l'empathie la plus parfaite qui soit, qu'un jour nous sommes descendus dans ce que j'appellerais "la matrice" pour emmener notre énergie et que nous avons été scindés en deux, la partie à dominante masculine et la partie à dominante féminine, nous sommes ainsi arrivés dans la souffrance et tels des anges déchus, nous sommes tombés encore plus bas happés par la dualité, la noirceur meme de ce que nous étions venus transmutter. Nous avons meme oubliés qui nous étions !!! ne vivant plus que dans la peur, la crainte et avons oublié par la meme notre connection avec un grand tout,une source unique, nous sommes tombés dans un cycle de karmas et de souffrances, devenant par la meme corrompus hélas, mais toujours notre ame se souvient, toujours notre ame nous rappelle qui nous étions, mais l'étincelle de ce que nous sommes ne s'éteint jamais, et quand je travaille sur des entités par exemple trés basses vibratoirement, je me rappelle de cela.

pour moi, peu m'importe le chemin, pourvu qu'enfin toute cette souffrance cesse, que mon ame n'aie plus de tristesse de ce souvenir là et que chaque etre humain, chaque entité vivant ici bas,puisse enfin retrouver sa liberté.

bises

Balzac a dit…

Je connais cette approche, Pistis Sophia, Jacob Boehme, la Rose Croix d'Or en parle aussi. Mais j'ose aller plus loin. Je pense qu'avec la chute, la descente de la Sophia, un nouvel accepte apparait, la dualité, la dialectique, offre un espace énergique unique car autogénéré, autonome, coupé de la Source mais viable car auto-suffisant, auto-contemplant... De là la possibilité de se révolter, de s'enorgueillir à été possible. Des Puissances se sont corrompus par l'attraction de la Matière mais "leur problème" a été de s'incarner pour créer une passerelle entre leurs mondes coupé de la Source et la Sophia, piégée et devnant leur source énergétique "autonome". Plusieurs essais (dinosaures, etc.) ont échoué. La solution a été trouvé en "scoatant" (voir par ex. le livre d'Enoch) un élément au sein de la Sophia, un élément qui est devenu l'homme...

myriam a dit…

Pour ma part, je ne la connaissais pas, donc c'est avec beaucoup d'émotions que je suis tombée sur ce texte, et que grace à lui j'aie enfin compris une méditation que j'avais faite il y a maintenant deux ans, je ne comprenais pas comment nous avions pu descendre aussi bas, et pourquoi l'homme était si mauvais.

la dialectique, offre un espace énergique unique car autogénéré, autonome, coupé de la Source mais viable car auto-suffisant, auto-contemplant

impossible pour moi d'adhérer à ca, en ce sens qu'il s'agit d'auto-contemplation et surtout d'une énergie trés mentale, que je ressens meme comme métallique, dénuée de toute compassion, attention je ne tombe pas dans la mièvrerie, mais dans la pure considération de la chose. Ce qui nous a fait descendre, ici ... S'est emparé de notre propre énergie, car coupé de la source, plus d'autonomie, et mes regressions vers des vies antérieures, des "dimensions" parrallèles, me permettent de penser que tout peut etre sujet à alimenter cette meme énergie qui nous bouffe ici bas, nous les hommes n'avons jamais été coupés de la source originelle,la terre dans toute sa souffrance non plus !!! son coeur nous porte et nous relie à cette meme source.Par contre la scission qu'y a eu lieu, et qui emmene toujours notre ame à rechercher cet autre moi, qui nous fait oublier qui nous étions, comment nous étions. Vraiment les entités qui nous ont fait cela, n'ont aucune autonomie, réellement aucune autonomie !!! et nous les alimentons par nos pensées, nos énergies, nos douleurs etc... Certains sont des vaches grasses pour ces entités là, voila du moins ce que je pense, ce que je ressens, car j'évite de lire, et de me perdre dans le mental, je travaille d'une certaine manière que tu trouveras ici, ancrage etc ... grace à cela, parfois m'arrive des inspirations; des flashs et je demande alors si ce que j'aie vécu était bien réel et je tombe toujours sur des petites choses qui confirment mon chemin.

Je travaille sur moi, sur ma libération, car en me réveillant peu à peu,je cesse de nourrir qui que ce soit et j'obtiens la compréhension de ce que je vis. Je n'aie pas la science inée, la compassion inée, et ceci est ma propre vérité, peut etre sera t'elle différente selon toi, et je le respecte aussi, mais ce blog, c'est un peu comme un journal intime ou un carnet de bord ou je note jour aprés jour, mes avancées

bises